La pensée unique contredit la réalité
Mardi 12 février, les
députés de la République en marche ont adopté en première lecture à l’Assemblée
nationale un amendement visant à supprimer les mentions « père » et
« mère » du code de l’éducation pour les remplacer par « parent
1 » et « parent 2 ».
Pour la députée à
l’origine de ce texte, Valérie Petit (LREM), « Cet amendement vise à
ancrer dans la législation la diversité familiale des enfants dans les
formulaires administratifs soumis à l’école ». Sa collègue de la 15e
circonscription du Nord, Jennifer de Temmerman (LREM), ajoute même que défendre
la mention « père » et « mère » traduit « des schémas
de pensée un peu arriérés ».
Le député LR Xavier
Breton a dénoncé un amendement qui relève « d’une pensée unique et
politiquement correcte qui ne correspond pas à la réalité ». « Quand
j’entends dire que c’est un modèle dépassé, je rappelle qu’aujourd’hui , dans
les unions célébrées, mariages ou Pacs, plus de
95 % sont des couples femme-homme », a-t-il souligné.
Chacun est libre de se
positionner sur ces sujets de société mais lorsque les faits sont là (+ de 95%
de couples mixtes) légiférer sur un document scolaire administratif semble
encore une fois bien éloigné des préoccupations de nos concitoyens. Alors qu’on
nous explique qu’il faut du temps pour réformer telle ou telle disposition
législative, il semblerait que ces députées soient pressées d’imposer des
changements qui ne concernent qu’une petite partie de notre population. Je suis
prêt à parier que leurs parents doivent se retourner dans leurs tombes !
En supprimant les mentions « père » et « mère » Les
députés de la majorité sont en marche
forcée et poursuivent le travail de
« déconstruction de notre société» mené par les militants du genre. Et "votre " député, il a voté ou pas cet amendement? Posez lui la question, il est censé vous représenter...
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